Le syndrome de cushing est un dysfonctionnement hormonal observé généralement chez les chevaux au-delà de 15 ans. C’est une maladie grave qui affecte tout l’organisme du cheval et peut avoir des conséquences néfastes sur ce dernier. Pour éviter une issue fatale, il est important d’être avisé sur certains points afin de détecter à temps la maladie. Pour améliorer la qualité de vie et préserver la santé de vos chevaux, nous avons sélectionné dans la suite de cet article, 3 choses à savoir sur le syndrome de cushing. Cet article s’articule principalement sur les causes, les symptômes et les moyens de traitement de la maladie.

Les causes de la maladie

Le syndrome de cushing est une infection hormonale très fréquente chez les équidés âgés. C’est une maladie due au développement excessif et chronique d’une partie de la glande hypophysaire localisée à la base du cerveau. Si votre cheval est atteint de ce syndrome, plusieurs sites tels que https://www.boutique-arbalou.com/fr proposent diverses solutions afin d’aider ce dernier à récupérer. En effet, certaines cellules nerveuses du cheval, notamment dans l’hypothalamus, ont tendance à se dégrader au fur et à mesure que celui-ci vieillit. Cette dégradation entraîne, chez les chevaux, un grossissement anormal et des activités irrégulières de l’hypophyse. Dans ces conditions, l’organisme du cheval est sujet à plusieurs troubles parmi lesquels le syndrome de cushing.

Les symptômes du syndrome de cushing

Les chevaux atteints de la maladie de cushing présentent plusieurs anomalies physiques et physiologiques. Les signes les plus facilement identifiables se situent au niveau du pelage et du poids des chevaux. La modification du pelage se présente généralement lors de la mue. En d’autres termes, le cheval atteint du syndrome de cushing semble avoir du mal à passer de son poil d’hiver, à son poil d’été pendant le changement de saison. Quand la maladie arrive à un stade plus avancé, le pelage du cheval présente un aspect anormalement long, rude au toucher et moins homogène qu’à l’accoutumée. Ce qui entraîne chez ce dernier, une transpiration excessive et inhabituelle au niveau des plis du coude et du grasset. En plus de ces aspects, il existe également d’autres symptômes qui indiquent l’affection du cushing, à savoir :

• un amaigrissement anormal ;
• la perte de l’équilibre ;
• une déshydratation régulière.

Comment le traiter ?

Les propriétaires de cheval doivent constamment veiller à l’état de santé de leur bête. La moindre anomalie doit attirer leur attention. Lorsque vous remarquez les symptômes du cushing chez votre cheval, la première des choses à faire est de vous rendre chez un spécialiste. En France, il existe plusieurs vétérinaires expérimentés qui pourront diagnostiquer et suivre de manière efficace votre cheval. Après avoir diagnostiqué votre cheval, ils pourront établir un traitement efficace et adapté aux besoins de votre animal. De plus, vous avez également la possibilité d’acheter des compléments alimentaires en vue de pallier certains défauts chez ce dernier. Toutefois, certains compléments agissent sur l’organisme du cheval à titre préventif. De ce fait, il est important de voir un spécialiste afin d’éviter certaines complications. Pour trouver un cabinet de vétérinaire, vous pouvez simplement vous renseigner avec votre entourage.